20 avril 2009
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Avant de continuer le 5ème point de ceux qui m'ont le plus marqués à la Maison des Ailes, je dois respecter un engagement pris ce jour auprès de Pom.
Il s'agit de la retranscription d'un cimmentaire que j'ai fais sur le site d'Arachnée sur sa page : Epices."Dieu a fait l'aliment, le diable l'assaisonnement" (james Joyce -Ulysse). Arachnée nous dépeint les épices comme des voyages de saveurs et d'odeurs dans des petits pots étiquetés.
Voici mon commentaire à ce sujet.
Les épices sont effectivement l'assaisonnement des plats et de la vie.
Pas assez, c'est fade ; trop, ça irrite et cela peut même faire pleurer.
Bref, les épices ne sont que les représentants olfactifs et gustatifs de notre vie.
Au début on est plutôt sucre et miel, puis, rapidmeent, il faut épicer sa vie.
Pour cela, on prend des risques mais la sensation est tellement grande et satisfaisante.
Puis, comme tout, les papilles s'habituent, alors il faut augmenter les doses ou alors aller chercher ailleurs d'autres prfums.
Puis, on réalise que l'on est allé trop loin, ou bien on se casse le nez sur un plat trop épicé pour soi.
Alors on revient au plat initial, en se disant que, après tout, c'est celui-là qui convenait.
Seulement voilà, ce plat de disette se rend compte de son état et ne veut plus de cette fadeur encore plus affadie qu'elle a le goût du dépit.
Alors, on décide de donner une chance de redémarrer la sauce mais il n'y a plus de liant.
Alors le plat de disette veut s'enrichir à sont tour et, pour cela, se sépare du plat initial et va à la découverte de nouveaux horizons parfumés.
Ce commentaire prendra toute sa valeur plus tard. C'est un peu comme connaitre la fin du film mais pas tout à fait et surtout le principal : c'est le suspens.
Voilà pour Pom et les autres internautes qui me font le grand plaisir de venir s'abîmer les yeux à me lire. J'espère seulement qu'ils auront le courage d'aller jusqu'au bout.
N'oublions pas que le but de ce blog est de me dire, en toute franchise si je suis un monstre ou pas.
PETITE PRECISION : Ma famille a toujours été présente pendant mon séjour en pensionnat. Je n'ai souffert d'aucun manque et j'en ai même été aguerrie. Du moins je l'ai pensé..........
Il s'agit de la retranscription d'un cimmentaire que j'ai fais sur le site d'Arachnée sur sa page : Epices."Dieu a fait l'aliment, le diable l'assaisonnement" (james Joyce -Ulysse). Arachnée nous dépeint les épices comme des voyages de saveurs et d'odeurs dans des petits pots étiquetés.
Voici mon commentaire à ce sujet.
Les épices sont effectivement l'assaisonnement des plats et de la vie.
Pas assez, c'est fade ; trop, ça irrite et cela peut même faire pleurer.
Bref, les épices ne sont que les représentants olfactifs et gustatifs de notre vie.
Au début on est plutôt sucre et miel, puis, rapidmeent, il faut épicer sa vie.
Pour cela, on prend des risques mais la sensation est tellement grande et satisfaisante.
Puis, comme tout, les papilles s'habituent, alors il faut augmenter les doses ou alors aller chercher ailleurs d'autres prfums.
Puis, on réalise que l'on est allé trop loin, ou bien on se casse le nez sur un plat trop épicé pour soi.
Alors on revient au plat initial, en se disant que, après tout, c'est celui-là qui convenait.
Seulement voilà, ce plat de disette se rend compte de son état et ne veut plus de cette fadeur encore plus affadie qu'elle a le goût du dépit.
Alors, on décide de donner une chance de redémarrer la sauce mais il n'y a plus de liant.
Alors le plat de disette veut s'enrichir à sont tour et, pour cela, se sépare du plat initial et va à la découverte de nouveaux horizons parfumés.
Ce commentaire prendra toute sa valeur plus tard. C'est un peu comme connaitre la fin du film mais pas tout à fait et surtout le principal : c'est le suspens.
Voilà pour Pom et les autres internautes qui me font le grand plaisir de venir s'abîmer les yeux à me lire. J'espère seulement qu'ils auront le courage d'aller jusqu'au bout.
N'oublions pas que le but de ce blog est de me dire, en toute franchise si je suis un monstre ou pas.
PETITE PRECISION : Ma famille a toujours été présente pendant mon séjour en pensionnat. Je n'ai souffert d'aucun manque et j'en ai même été aguerrie. Du moins je l'ai pensé..........